Plusieurs questions demeurent encore sans réponse :
- On se demande si toutes les technologies nouvellement adoptées sont supérieures aux pratiques traditionnelles
- On se demande si toutes les technologies nouvellement adoptées sont supérieures aux pratiques traditionnelles
- Ces outils sont assez complexes, nécessitent tout un changement au niveau de l’exécution des tâches, qui peut parfois entrainer la résistance du personnel et des risques sur la santé des patients
- Les technologies sont parfois utilisées pour des tests sur des individus sans forcément que ceux-ci en soient informés? → À l’opposé, l’utilisation dangereuse, voir inefficace des technologies non testées soulève des questions. Est-ce éthique?
- Disparité au niveau des revenus et des budgets alloués aux régions. Certains individus ont accès à toutes sortes de technologies, tandis que d’autres doivent se contenter d’équipements qui ne répondent pas toujours à leurs besoins
- Vu le coût dispendieux de ces appareils, seul les patients les plus nantis ont accès aux technologies. Les technologies sont plus facilement accessibles près des grands centres urbains. En régions éloignées, les patients qui désirent avoir accès aux nouvelles technologies doivent se déplacer, moyennant plusieurs frais additionnels et dérangements.
- Tous le patients ne souffrent pas de la même maladie ce qui fait que parfois une machine est acquise à un coût exorbitant alors que seulement une poignée de personnes en profiteront cela vaut-il vraiment la peine?
-L’implantation des technologies augmente la demande pour certains services alors que le personnel soignant est insuffisant. Plusieurs hôpitaux n’arrivent pas à répondre à la demande
- La relation médecin-parent remise en cause, car il n’y a que très peu de contact humain. Il va falloir trouver un moyen de s’assurer que les appareils améliorent les soins de santé sans toutefois les déshumaniser.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire